Ce dimanche le 11e congrès des jeunes socialistes s’est achevé à Saint-Étienne avec l’élection d’une nouvelle présidente Laura Slimani et la nomination au bureau national du mouvement deux camarades et amis du Loiret : Grégoire Chapuis et Jérôme Bornet. Pour les deux prochaines années de leur mandat ils trouveront dans le Loiret un soutien indéfectible pour la réussite socialiste.

Logo du 11ème congrès du Mouvement des Jeunes Socialistes

Dans la continuité de la motion que j’ai soutenu pour ce congrès, j’ai participé aux débats sur l’orientation et l’activité du mouvement afin de porter de nouvelles pistes crédibles de transformations sociales. De ce point de vue la fédération du Loiret, dont la délégation était composé de 8 membres, a été particulièrement active puisqu’elle a été à l’initiative d’un large rassemblement sur les questions d’Europe, de logement et d’audiovisuel public en proposant des textes adoptés à l’unanimité des 700 délégués et invités du congrès. L’ensemble des jeunes socialistes de France ont donc maintenant une vision de l’Europe à défendre : celle d’une Europe renouvelée, démocratique et sociale, celle d’une Europe fédérale, celle d’une harmonisation vers le haut de nos modèles sociaux. Ils ont aussi des propositions à défendre concernant l’audiovisuel et notamment sur l’inflation des écrans publicitaires dont la limitation du nombre et de la durée semble être un bon moyen d’apporter plus d’équilibre entre les chaînes (certaines sont clairement défavorisées).

Lors de ce congrès j’ai aussi été très fier de porter la vision de l’éducation de la motion 2. Mon intervention est d’ailleurs à retrouver sur ce blog. J’ai également été fier de monter à la tribune pour proposer un plan stratégique pour les prochaines élections. Un plan qui vise à aider les camarades pour préparer, avec les candidats dans les différents territoires, les programmes et les listes.

Ce 11e congrès était donc mon premier mais l’enthousiasme que j’y ai découvert me fait croire que ce n’est probablement pas le dernier. Les nombreuses rencontres, notamment avec les fédérations du Rhône, de Paris, de la Drôme, de la Loire-Atlantique, du Nord, de l’Indre, des Deux-Sèvres, etc. ont permis une fois de plus de constater que le travail collectif mène à de belles avancées. L’impression d’avoir fait avancer le mouvement par le débat est forte, il ne reste qu’à poursuivre cet effort.